Santiago
Réconciliés avec notre guide nous voici partis pour un city tour, nous avions déjà circulé par nous-mêmes la veille mais les explications historiques d’Emmanuel furent un petit plus pour cette ville. Santiago n’est pas forcément une ville très intéressante, ni très belle, ni très riche, architecturalement brouillonne, un peu sale, en fait triste. Les seules images que nous garderons sont les fresques peintes sur les murs dans le vieux quartier. Elles sont originales colorées, variées. Elles animent les murs gris qui sont souvent délabrés. Petit bémol tout de même tous les murs sont tagués et c’est vraiment moche. Peut être le retour à la civilisation après ces moments particuliers passés dans le sud du pays y est il pour quelque chose dans cette impression un peu négative mais Santiago ne me reverra sans doute pas. Au retour Emmanuel nous ayant mis de la musique, les « Quilapayun » me replongèrent dans l’époque de la dictature de Pinochet, c’est avec eux que j’avais appris mes premiers mots d’espagnol, je retrouvais assez facilement les paroles de la chanson 40 ans après ce qui fit bien rire Domi. »El pueblo unido jamas sera vencido »